Mémorial de Brazza, érigé sur le site même ou il aurait construit sa demeure en 1880 après avoir signé pour le compte de la France un traité avec le roi des Tékés, Makoko. Ses restes et ceux de ses descendants y ont été transférés depuis Alger conformément à sa volonté en 2006. L’école de peinture de Poto-Poto, établie dans les années 50, est toujours bien vivante, une dizaine d’artistes travaillent et exposent dans une grande case ombragée. La galerie Konongo, fondée par un célèbre sculpteur décédé en 2008. C’est son fils qui dirige désormais l’atelier.
C’est le nom d’un resto/bar/hotel, au bord du fleuve d’où on peut voir les gamins se jeter dans les turbulences, comme s’ils faisaient des tours de manège.
Le site est très fréquenté avec des buvettes et nganda qui s’installent le week-end. C’est « la plage de Brazzaville », et un peu comme sur la côte Sauvage à Pointe Noire, ony vient se baigner, mais surtour être vu et se faire prendre en photo.
C’est aussi un site de vidange et nettoyage auto/camion très actif…
Depuis le restaurant du cercle nautique, en centre ville, vue sur Kinshasa.
Un peu plus au sud, quartier Bacongo, vers « la case de Gaulle » (désormais résidence de l’Ambassadeur de France), vue sur les deux rives. Les environs sont dans un piteux état qui n’invite pas vraiment à la promenade sur les berges : dépôt de matériaux de construction et tas de détritus au milieu des parcelles cultivées. Non loin, en reprenant la direction du centre ville, un monument commémore Brazzaville « capitale de la France libre » de 1940 à 1944.
Commencée en 1943, oeuvre de l’architecte Erell, cet édifice impressionne vraiment par son architecture unique, mélange de construction occidentale moderne et d’éléments africains , comme les formes en ogive sou les tuiles – écailles de serpent ! La Flèche n’a pourtant été achevée qu’en 2011 ! (la suite sur wikipedia) Les instruments de la célèbre chorale » Piroguiers du Congo » attendent l’office dans un coin. Au baptistère, un crocodile est caché sur les berges du Jourdain et St Jean-Baptise a une tunique en pagne… fusion.
Vue du 4e étage de notre résidence, la vie est incroyablement décalée des réalités quotidiennes de la plupart des gens ici. Cette semaine, retour à la réalité. Un petit rappel : à midi il fait toujours plus de 30 degrés avec 91% d’humidité.
D’abord c’est la clim’ qui a décidé de nous lâcher juste le jour ou il y avait préparation de saka-saka dans notre cuisine… 4 heures de cuisson à gros bouillons ! Malgré les portes et fenêtres ouvertes, les murs et le sol ruisselaient de condensation… nous aussi ! Commentaire d’une collègue Congolaise « mais on ne fait pas de saka-saka à l’intérieur ! » Evidemment, on avait déjà remarqué qu’il vallait mieux prévenir les voisins du dessous avant de sortir le pilon.
Hier en début de soirée (avant le bain des enfants), coupure d’eau générale, inattendue. La bâche est pleine, mais la pompe ne fonctionne plus. En dehors du centre ville, on croise partout des livreurs d’eau avec leur brouette chargée de bidons jaunes de 25l. Mais ici ? On attend… en évaluant nos chances une veille de 1er mai d’avoir une pompe réparée ou un magasin ouvert !
Mais comment faire lorsqu’on n’a jamais conduit de 4×4 et qu’on débarque dans un pays sillonné de pistes qui ne figurent sur aucune carte ?
Conseils pratiques, itinéraires de balades à la journée, expéditions, suggestions pour camper… Ce livre s’adresse aux explorateurs qui veulent devenir de vrais « broussards ».
sur votre mac avec l’application iBooks intégrée (à partir de OS X Mavericks).
Le livre est distribué en version électronique sur la plateforme Apple, car :
Les cartes sont « augmentées » : on peut zoomer et accéder à des informations complémentaires en cliquant dessus.
Pour bien apprécier les endroits à visiter, les photos sont en haute-résolution.
Pour celles et ceux qui n’ont vraiment pas d’iPad ou d’ordinateur Apple, il est possible d’acheter au même prix (15 €) un exemplaire au format PDF. Cette version contient des images à la place des cartes augmentées et ne contient pas le glossaire (le format PDF ne permettant pas de réaliser tout cela). Le fichier a télécharger fait un peu moins de 90Mo. Vérifiez que votre connexion internet permettra de le récupérer !
Le fichier PDF (ISBN 978-2-9547736-1-2) est distribué pour un usage personnel seulement. Il est strictement interdit de le partager. Chaque fichier est unique, signé numériquement et permet de retrouver son propriétaire.
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Les pistes d’accés ont encore changé depuis la dernière fois que nous sommes venus surfer ici. Des maisons se sont construites au milieu des chemins, et d’anciens accès ont été réhabilités. Peut-être qu’un jour, un « VIP » construira sa maison et fera venir le goudron. En attendant, on passe en mode 4×4, et au bout, la baie de Mvassa.
Juste en face de chez Gaspard au grand marché, chez le tailleur : – Mbote Papa, je voudrais un costume de James Bond. – Pas de problème : revenez avec 3 m de tissu du coin de la rue et je vous fais ca sous deux semaines. On va voir… les mesures sont prises à « mundele » mais d’ici à ce que Greg récupère l’abacost commandé juste à côté…
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