Gloriosa Lutea : Lis Glorieux Jaune, pousse ici non seulement en forêt mais aussi simplement sur la plage !
Année : 2014
Côté barbecue, entrainement pour de plus longues aventures : après les saucisses comme d’hab’, on s’est lancés dans la boulange ! Il faudra encore un peu de mise au point côté cuisson (d’aucun disent : il a ce gout typique des pommes de terres cuites sous la centre, entre peau calcinée et morceaux d’alu collés…) mais pour une première fois ce n’était pas mal !
Côté mer, que font les bateaux chinois si près de la côte par un beau dimanche… ils remontent leurs filets ! La concurrence est rude pour les piroguiers.
Futur 5*
Avant le resort & spa de luxe, il ya, bordant une plage déserte, une forêt de palmiers qu’on déracine et qu’on entoure d’un long mur de béton flanqué de tourelles.
Il y a le sable jonché de coquillages papillons, graines et détritus.
De drôles de visionnaires… je ne suis pas sûre de partager leur rêve.
Mzibati
Après un long silence, reprise des expéditions !
Un village au bord de la piste, au bord de la forêt. Rythmé par les passages des grumiers et des camions remorque lourdement chargés de la carrière voisine.
Un week-end chez notre ami Bona. Découverte du gingembre sauvage à l’apéro (attention ca pique vraiment !), barbecue et dégustations de plats locaux saka saka et pangolin, avec en dessert les ananas mûrs à point. Puis camping avec comme veilleurs le sage du village, son chien, le feu et les lucioles.
Balades à la rivière… que les piétons s’embourbent, pas grave mais quand le camion a trop de mal à passer, le catterpilar arrive à la rescousse. Riverain ou employé de la carrière, qui reste usager de la piste? Qui l’entretient ?
Bar local et sa mascotte.