Vendredi 13, 6h. Debout tot pour pourvoir profiter d’une entrante. Le pain arrive en fin de petit dej, juste à temps et hop, on repart pour une petite plongée dans la passe. On a vu une tripotée de requins, dont un gros pointe blanche du recif (Tapete en reo ma’ohi) qui nous a suivi pendant toute l’heure de la plongée. Pas de requin marteau, mais bon, c’est pas mal quand même ! Un peu moins mal à l’oreille, l’espoir renait. L’aprem, plongée d’un peu plus d’une heure à l’extérieur de la passe, beaucoup de courant, quelques murènes qui nageaient, et voilou. Par contre, quelques douleurs persistantes à l’oreille sur le retour. On me conseille d’utiliser de l’huile de tamanu. Corina m’en sortira une vielle bouteille de laquelle je sors quelques gouttes qui vont imbiber mon oreille toute la soirée. Après le repas (yavait du chou fleur), nous sommes allés en ville (enfin, faut le dire vite hein..) pour voir les danseuses qui s’exécutaient devant les 80 membres du Prérial (Je ne sais pas trop comment ca s’écrit) en tenue. Les brochettes de viandes se sont arrachées comme des petits pains à coté d’un pathé béarnais et les habitants sont allés remplir des bouteilles d’eau avec le vin offert à la population. Bref, la fête à la Polynésienne.. Des gens qui mettent de la gaieté dans les rues tout en slalomant entre.. euh, rien.
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