Petite grace mat, nage libre dans le lagon. J’y croise quelques oiris, un petit pointe noire.. Des apnées, mais à 15-20m seulement, dans le bleu, il faut rester sage ;)
Billard, nage.. Le temps passe, il est temps de monter dans l’avion. On sort de l’eau, on prend les palmes à la main, et zou, direction Rangiroa. On croise le cortège du congré de la mama polynésienne en balade sur les îles. C’est chouette pour faire des photos. Un peu floues certaines car j’ose pas trop mettre le flash pour pouvoir prendre des morceaux de vie sans se faire remarquer. Coliers de coquillages, « mauruuru, nana, à bientôt, etc. ». D’un point de vue structurel, la piste de manihi est coupée en deux : Une demi piste et un terrain vague qui contenait autrefois une piste, emportée par une ancienne tempete. L’aéroport est au bout de l’ancienne piste, et donc l’avion s’arrête loin avant et le transfert se fait en truck pour les gens et en tracteur pour les bagages. Pour les lauréats qui habitent l’unique hôtel de l’île : Le manihi pearl beach resort, le transfert se fait en voiturettes de golf.
Après quelques minutes de vol et un jus de mangues frais, on survole Anaa, puis Rangi. On se pose sur la piste internationale et on arrive à un vrai aéroport (avec un endroit où on récupère les bagages et non pas un tas au milieu d’un amât de corail. Colliers de fleurs, etc..