Au détour de la piste, un bout de route bitumée, une mission et un prêtre en tenue de père blanc (ou sable d’ailleurs) qui nous indique comment repartir.
Un peu plus loin, cet immense stockage de grumes : Asia Congo, qui n’était jusqu’à présent pour nous qu’un panneau sur la Nationale 1.
Au nord du lac Loufoualeba, on réussira à poser la voiture deux fois dans des ornières de sable mou fraichement creusés par des camions. Un passant qui s’arrête pour nous aider, se moquant de notre petite pelle de jardin qui sert à déblayer sous la voiture. Il nous demande si avec cet outil pour jardinage on aurait pas par hasard des graines de lavande ? Et bien si.. on lui en donnera lundi, de retour à Pointe-Noire.. Drôle de requête en échange d’un bon coup de main !
Les nouvelles plaques (gracieusement transportées par Air France croyant que c’était un snowboard) fonctionnent à merveille, et permettent de moins creuser !
Las habituels taxis, les grumiers, les « aide-moi à mourir » (scooters) … rien qui dénote un jour de fête, sauf les boutiques des photographes, les seuls à avoir sorti des décorations : on pose avec le père Noël ?
A l’Est de Diosso, entre les baobabs, on trouve des plantations de maïs. Plus au nord, on tente de rentrer dans le sanctuaire de Tchiponga, mais un garde à l’entrée nous explique que l’accès est interdit depuis quelques années.