La petite troupe ne passe pas inaperçue.
Fanta passion et bouillon de porc-épic chez Gaspard pour se poser à l’ombre.
Les tenues sont plus urbaines, les accessoires aussi, à base de capsules de bières et sodas mais quand surgit l’étrange échassier masqué nul besoin d’être initié pour deviner que cette danse n’a rien d’ordinaire !
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Les enfants sont là, au dos ou à tenter de faire des premiers pas, en musique !
On voit apparaître d’étonnantes créatures de raphia et de plumes, guidées par l’homme à la cloche, qui tournoient et poussent de grands cris en face du groupe qui semble tenter de les attirer par les chants et le rythme des tambours.
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Les tenues teke se distinguent par le raphia tressé, leur spécialité et aussi le couleur rouge symbole du pouvoir. Du côté des hommes beaucoup d’accessoires, peaux, grelots, coiffe ou montre !
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Sur l’esplanade du musée de Diosso, nous avons pu découvrir les chants et danses traditionnelles de quatre ethnies du Sud du Congo, grâce aux groupes invités par la section culturelle (merci les organisatrices !).
Ca commence avec le mbongui bantu des Lari (région du Pool), premiers arrivés.
On remarque pour les femmes la grosse ceinture de pagne roulé sur les hanches pour mettre en valeur les roulements du postérieur. Les hommes eux cherchent au cours de la danse a projeter sur leur épaule par un jeté de jambe bien ajusté une des lanières de leur jupe, pour se présenter à une des femmes qui les en débarrasse. Pas si facile à faire… ni à photographier !
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