Préparation et cuisson des petits poissons du lac Nanga
2 réponses sur « Maboke »
Bonjour,
Je connais bien le lac NANGA car j’ai habité Pointe Noire cinq années professionnellement, c’est un jolie site où la nature n’est pas encore trop détruite par les méfaits industriels n’ayant qu’un objectif le profit au détriment des peuples et de la vie animale et végétale. Certes les familles vivant au lac NANGA ne sont pas fortunées mais elles vivent comme elles respirent au rythme de la nature et des saisons. Quand je compare la vie des congolais vivant en ville et ceux du lac NANGA et bien je préfère la deuxième solution. Bien sur on pourrait améliorer les conditions de vie rurale par quelques petits aménagements et par une petite formation des règles de l’hygiène de vie, c’est simple et pas onéreux mais il faut le faire bien entendu car la boisson commence à faire de gros dégâts sur le continent Africain pour la grande satisfaction des brasseries locales qui font des profits considérables. La solution pour l’Afrique c’est l’autosuffisance alimentaire mais pour cela, il faut encourager l’agriculture locale mais pas des usines agricoles comme en Europe qui ne mènent à rien sauf à la misère des agriculteurs par l’endettement mais une agriculture familiale tout simplement. J.T.
Bonjour Jacques,
Merci pour ton commentaires. Il est vrai que l’agriculture, or manioc, n’est que très peu développée au Congo. Pourtant, il y a des dizaines d’espèces de fruits et légumes qui se sont adaptés au climat de la région et qui sont exploités autour de rivière rouge par exemple.
Il y a bien sûr plusieurs problèmes à cela : le manque de connaissances, d’accès au semences, et aucun réseau de transport et donc de distribution. Pas facile d’encourager l’agriculture locale dans ce contexte !
2 réponses sur « Maboke »
Bonjour,
Je connais bien le lac NANGA car j’ai habité Pointe Noire cinq années professionnellement, c’est un jolie site où la nature n’est pas encore trop détruite par les méfaits industriels n’ayant qu’un objectif le profit au détriment des peuples et de la vie animale et végétale. Certes les familles vivant au lac NANGA ne sont pas fortunées mais elles vivent comme elles respirent au rythme de la nature et des saisons. Quand je compare la vie des congolais vivant en ville et ceux du lac NANGA et bien je préfère la deuxième solution. Bien sur on pourrait améliorer les conditions de vie rurale par quelques petits aménagements et par une petite formation des règles de l’hygiène de vie, c’est simple et pas onéreux mais il faut le faire bien entendu car la boisson commence à faire de gros dégâts sur le continent Africain pour la grande satisfaction des brasseries locales qui font des profits considérables. La solution pour l’Afrique c’est l’autosuffisance alimentaire mais pour cela, il faut encourager l’agriculture locale mais pas des usines agricoles comme en Europe qui ne mènent à rien sauf à la misère des agriculteurs par l’endettement mais une agriculture familiale tout simplement.
J.T.
Bonjour Jacques,
Merci pour ton commentaires. Il est vrai que l’agriculture, or manioc, n’est que très peu développée au Congo.
Pourtant, il y a des dizaines d’espèces de fruits et légumes qui se sont adaptés au climat de la région et qui sont exploités autour de rivière rouge par exemple.
Il y a bien sûr plusieurs problèmes à cela : le manque de connaissances, d’accès au semences, et aucun réseau de transport et donc de distribution.
Pas facile d’encourager l’agriculture locale dans ce contexte !