Vers les lacs Loandjili et Ndembo, en passant par « la forêt d’Eucalyptus », qui sont en fait des parcelles exploitées pour la pâte à papier.
Du coup on croise soudain au milieu de la savane une « station » bien équipée pour ouvrir des pistes !
Il en reste peu en ville, mais en dehors, nous découvrons une petite troupe, avec celui ci qui annonce la saison des pluies avec ses petites feuilles vertes, et ces deux là qui nous rappellent les baobabs amoureux de Mada !
D’autres histoires de baobabs par ci, par là en Angola.
Un autre resto de plage bien sympathique, au Mozambique, avait écrit sur son menu, cette recommandation d’autant plus essentielle qu’il ne proposait qu’un seul plat, le poisson du jour : » Ici nous cuisinons à partir de produits frais et cela peut prendre un certain temps alors détendez vous et commandez une bière « … c’est le même principe à la Baleine, on se rebaigne en attendant les poissons ?
Haut lieu touristique à moins d’une heure de Pointe Noire (selon les embouteillages et l’état de la piste) : il y a un panneau pour indiquer quand sortir de la route, puis un dédale de pistes avec comme point de repère : passez la torchère et continuez tout droit.
Les cases des riches ponténégrins sont presque toutes vides ce dimanche matin, Le poisson sèche sur la plage.